Petit "concours" d'écriture

Puisque certaines d'entre vous commencent à "fantasmer" sur la relation entre notre chère assassin et notre non moins cher général, je vous propose d'écrire un court texte, qui mettrait ces personnages dans une situation romantique (c'est à dire totalement en inadéquation avec leur caractère).
A vous de jouer. Faites-nous rire.

Pour ce concours aussi, je vais essayer... et je ne garantis toujours rien pour le résultat.
Je t'envoie le texte en mp ou je le poste ici ?

Postez toutes vos textes ici. Attention j'ai dit qu'il devait être court, donc ne rédigez pas plus d'une page Word.

aaahhhhh, dur dur de faire une page!!
Au début, en fait, mon passage faisait deux pages. j'ai du le raccourcir....horreur!! Mais j'ai réussi le voilà. J'espère que vous aimerez.

Le général était allongé par terre. Du sang jonchait le sol. Tyra se précipita. Son cœur venait de faire un bond énorme. Un bond d’angoisse. Elle s’agenouilla à côté d’Ankth’yor.
Le général ouvrit les yeux.
- Je ne l’ai pas vu venir. Il est parti.
- Ne t’inquiètes pas, je vais te soigner.
Elle observa la plaie. Il avait déjà perdu pas mal de sang. Heureusement , celui qui avait fait ça avait loupé le général de très peu. Elle ferma les yeux. Le vieux mage avait bien dû lui apprendre une formule, une incantation pour guérir les blessures de ce genre. Elle prononça une phrase incompréhensible et la plaie d’Ankth’yor se referma, non sans un gémissement de douleur de la part de celui-ci. Puis elle l’aida à se relever et l’emmena dans sa chambre. Elle l’allongea sur le lit, prit une chaise et s’assit près de lui.
- Merci, lui dit le général avec un sourire
- De rien. Tu as eu de la chance, il aurait pu te tuer.
- Je sais. Je ne l’ai pas vu arriver. Il était encore plus discret que toi.
Tyra fit une grimace. Ankth’yor venait de toucher à son ego.
- Ceci dit, je pensais que tu n’étais pas n’importe qui, général.
Un point partout. Le général sourit, elle lui rendit son sourire.
- Tu m’as sauvé la vie, Tyra, je ne l’oublierai jamais.
- On est quitte alors.
- On est quitte, murmura le général.
Il lui prit la main et une étrange sensation envahit l’assassin. Une sensation qu’elle n’avait jamais ressentie auparavant. Qu’elle ne connaissait pas et sur laquellle elle ne pouvait mettre de nom. Elle regarda le général dans les yeux. Et une vague l’envahit. Une vague de chaleur et en même temps de froid total. Ankth’yor regarda le fond des yeux de Tyra. Des yeux couleur bleu glacier, qui la rendaient impénétrable, froide, mystérieuse. Et pourtant, au fond de ces yeux, Ankth’yor ne vit qu’une flamme. Ils restèrent longtemps comme ça. Puis Tyra détourna le regard, gênée. Elle ne savait pas trop ce qui la prenait tout à coup, mais elle savait qu’elle ne devait pas l’écouter. S’attacher c’est être faible, être faible c’est mourir. Ce qu’elle avait toujours dit, ce qu’elle avait toujours cru, ce qu’elle n’avait jamais voulu contredire. Et pourtant, depuis qu’elle avait rencontré le général, elle sentait bien que tout ce qu’elle avait vécu jusqu’à maintenant changeait.
- Tyra ?
- Oui ? demanda-t-elle, coupant court à ses pensée, pour regarder de nouveau Ankth’yor.
- Tu n’es pas obligée de suivre ce qu’on t’as appris toute ta vie. La liberté, c’est aussi s’affronter.
Mince, il avait vu.
- Je ne vois pas de quoi tu veux parler.
- Moi si. Toute ma vie je me suis dis que mon devoir était de traquer et d’arrêter, puis d’emprisonner ou tuer les gens comme toi. Pourtant, plus je passe de temps avec toi, plus je me dis que tout ce qu’on m’a appris durant mon enfance, ma formation, était peut-être faux. Basé sur le fait que je me comporterais comme une machine.
- Arrête….
- J’ai promis de mettre de côté mes peurs, mes doutes et mes sentiments. Mais regarde ce que ça a fait de moi !! Je ne veux plus vivre comme une machine.
- Ankth’yor.
- Tyra, je crois que je suis tombé amoureux de toi. Et je pense que toi aussi.
Tyra le regarda. Dans les yeux. Au fond des yeux. Et elle sut. Elle ne pouvait plus nier. Elle avait des sentiments. Elle était amoureuse. Leurs visages se rapprochèrent, leurs lèvres se touchèrent. Ils s’embrassèrent. Le physique n’étais plus. Maintenant, c’était l’amour.

voilà!!

OMG Je vais faire une crise cardiaque!!! C'est pas bientôt fini oui!!! Le général romantique, même pas en rêve!!!

Pas mal Stellina. Joli.
Ca m'a bien fait sourire. Et tu as fait vite en plus.

Transformez le moi encore en mou du genou et je vous étripe

L'écoutez pas XD Elle est bougonne XD
Ecrivez-moi de jolis textes guimauve <aime les textes guimauve>

Je ne plaisante pas... A la limite faites de Tyra une guimauve et laissez le général la rambarder gnégné, c'est mieux

rooooh pourquoi ne pas décrire le général qui se ramène chez Tyra avec une gerbe de rose rouge et une bague de fiançailles ?

Si u te sens de le faire, je t'en prie XD

<meurt...> Plutôt mourir... Je réitère mes menaces!!! Gaffe!!

a moins que... pourquoi pas tyra en allant chez ui decouvre qu'il dort avec des jolie peluches roses ...
XD, zut, je sors du sujet! lol!

Là tu cherche les coups Linnendril... ou alors tu ne tiens pas à la vie XD

roooh le zouli lapinou d' Ankth'yiorinoouuu on va faire un pitit bisou à Ankth'yorinou avant de faire un gros dodo^^

Sont fous...

ben quoi ? sous ces apparences rugueuses, Ankth'yor est certainement doux comme un agneau... et fan de petit ours brun

<Va cramer trollette>

*s'échappe*
courage, Ankth'yor ! petit ours brun vaincraaaa et oublie pas ton lapin rose !!
*passe pour une folle furieuse*

MDR
Et en plus tu floode ! Spisse de floodeuse va.
Allez on recentre le sujet please.

Entendu, très chère auteure je n'évoquerais plus le zouli lapin rose d'Ankth'yor et Petit Ours Brun. Il n'empêche qu'il ne faut pas avoir honte d'avoir besoin d'un bisou pour dormir, ça arrive à des gens très bien, d'ailleurs...
*SHLAAAACK*
ok je crois que j'ai compris ^^

XD
on rentre a l'ecurie et on revient a nos mouton

merci merci chère auteure Tyra!! j'avoue que l'inspiration est venue d'elle-même ( j'adooore écrire des scènes d'amûr à l'eau de rose ).
Désolée général, mais bon ça n'aurait pas été romantique si notre Ankth'yor national n'ouvrait pas son coeur à notre jolie assassin.

Et je suis contente de vous avoir fait rire ( c'était aussi un peu le but!!)

Voilà, moi aussi je me lance, et je dois avouer que je suis plus fière de ce texte que de mon dessin.


Ankth'yor vérifia une dernière fois que son noeud de cravate était bien fait, que le bouquet tombait bien du côté que lui avait recommandé son aide de camp, prit une profonde inspiration, et frappa à la porte de leur chambre.
Tyra, en entendant frapper, se retourna et se mit aussitôt sur le mode « survie ». Un assassin prévient rarement qu'il rentre s'il vise la mort de l'autre, mais Tyra préférait être prudente. Elle s'avança lentement jusqu'à la porte et l'ouvrit.
Devant elle se tenait Ankth'yor. Sans faire attention à sa tenue... étrange, Tyra remarqua immédiatement le bouquet de fleurs.
On ne lui avait jamais offert de fleurs, mais un bouquet dissimule facilement une arme ou un serpent mortel.
Bien sûr, elle aurait pu comprendre que le bouquet était juste un cadeau, mais son esprit en mode survie ne vit que le côté dangereux.
Elle bondit sur Ankth'yor, lui arrachant un cri de surprise, et lança le bouquet au loin, sans prendre garde aux cris indignés de son compagnon.
L'attrapant à la gorge et profitant de l'effet de surprise, Tyra le plaqua contre le mur en sifflant:
« Qui t'a donné ce bouquet?
Ankth'yor ne répondit pas, trop occupé à essayer de reprendre sa respiration. Lentement, il repoussait la main de Tyra. Il finit par y parvenir et cria:
-Mais ça va pas? J'arrive en grande tenue pour t'offrir des fleurs et te déclarer mon amour, et tu métrangles à moitié en piétinant mes roses? »
La pression qui restait contre sa gorge disparut d'un coup. Tyra le regardait, les yeux ronds.
« Des...des fleurs? finit-elle par articuler.
-Oui, des fleurs. Je voulais faire ça dans les règles de l'art, j'avais demandé des conseils à mon aide de camp, mais tu ne m'as pas laissé le temps de...
-De quoi?
-Ben... je... je te l'ai dit, maintenant. C'est trop tard pour le faire bien, mais bon...
Devant les yeux médusés de Tyra, il s'agenouilla et déclara:
-Tyra Zenf, depuis que je t'ai rencontré, je ne vis plus, je ne dors plus, je ne mange plus, je ne pi... euh, non, c'est pas ça. Enfin, bref, je t'aime!
Tyra se laissa tomber face à lui, le souffle coupé. Il l'aimait!
-Tu préfères les mots ou le concret? fit-elle.
-Pardon? dit-il, abasourdi. »
Tyra eu un sourire et, sans répondre, l'embrassa.

<Va se pendre>